Jean-Michel Boucheron rencontre Yasser Arafat à Tunis. Il en revient convaincu qu’Israéliens et Palestiniens doivent négocier directement. A l’époque cette idée choque certains esprits, les lettres de contestation afflueront. Quelques années plus tard, dans le plus grand secret, seront négociés les accords d’Oslo.