Après l’annonce par la Corée du Nord d’une expérience nucléaire réalisée dans des conditions incertaines, quatre pays de plus disposeraient de l’arme en dehors du traité de non prolifération. Dès lors, l’existence de ce traité est mis en cause. Deux points de vue s’affrontent : les partisans du statu quo et ceux qui pensent, comme Jean-Michel BOUCHERON, que ce traité doit être réorienté vers la lutte contre la discrimination des matières fissiles, danger terroriste principal.
Source : Ouest-France